Cette école était située sur la rue Saint-Denis (côté Est) et la rue De Rigaud (côté (Nord). L’école apparaît en 1895-1896 située en face du Square Saint-Louis, au même emplacement que l’Institut d’hôtellerie. L’école fut démolie en 1959 et devint pour un certain temps un stationnement.
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Commentaire

Aberdeen school — 7 commentaires

  1. Je suis allée à cette école pendant 4 ans ( 8e-9e-10e-11e). Elle se nommait école Notre-Dame de l’Esperance. A mon souvenir je pense que c’était l’une des premières polyvalentes de Montréal
    J’aimerais qu’on me le confirme. Ginette Reno était étudiante également en même temps que moi. Nous prenions les autobus de l’avenue des Pins et St-Laurent pour revenir à notre domicile situe dans le Mile End. Mon professeur se nommait Françoise Pageau la directrice de l’école Françoise Côté.
    Au plaisir de vous lire.

  2. L’école a été transformée pour accueillir des filles de langue française pendant plusieurs années, j’y étais de 1960 à 1964. La façade était alors condamnée, et l’entrée principale était sur la rue Malines. Elle a été détruite par un incendie durant l’hiver 1965.

    • Plus jamais cela, sur le Plateau-Mont-Royal.
      Dans les années 1970, des « erreurs » ont conduit au remplacement du petit joyau architectural, que constituait l’école Aberdeen, (lire la chronique d’Andréanne Foucault) pour construire à la place un édifice « kroutchévien ».
      Au dire de certains de nos anciens, l’école Aberdeen devait être quand même grandement restaurée mais jamais elle a mérité d’être totalement détruite.
      Cliquez sur ce lien pour en savoir plus sur la chronique

    • Voici un vestige de photo dont l’origine nous échappe qui pourrait nous aider à repérer et dater cette photo.

      Aberdeen School
  3. M. Roger a fait ses études primaires à l’école Aberdeen, un bel édifice en pierre situé sur la rue Saint-Denis en face du Carré Saint-Louis, à l’endroit où se trouve aujourd’hui l’Institut du Tourisme et de l’Hôtellerie du Québec. Bien que les membres de la famille ne pratiquaient plus la foi protestante, M. Roger était considéré comme protestant, ce qui rendait difficile l’accès aux écoles catholiques.
    En plus, sa mère, qui parlait trois langues (français, allemand et anglais), était d’avis qu’il serait utile pour lui d’apprendre l’anglais. Voilà pourquoi il s’est retrouvé inscrit à l’école Aberdeen, bien qu’il ne parlait pas alors un seul mot d’anglais!.
    Cliquez sur ce lien pour en savoir plus sur le témoignage de Monsieur Roger

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