Cette église était située à l’angle de la rue Bernard (côté Nord) et de l’avenue Saint-Urbain (côté Ouest). Année de fondation de la paroisse catholique Saint-Georges : 1908.
Suite à la diminution du nombre de fidèles dans la paroisse liée à la construction du viaduc Van Horne et au fractionnement, plus au nord dans le quartier grandissant de la Petite Italie, l’église dû céder la place à l’école primaire Lambert-Closse.
En 1909, le Père Émile Piché, un religieux de Saint-Vincent-de-Paul, et curé de cette paroisse fonde le Patronage Jean-Léon Le Prévost au sous-sol de l’église, le 16 décembre 1909. L’oeuvre offre des loisirs et un encadrement moral aux garçons et jeunes gens. En 1913, le Patronage déménage dans un bâtiment nouvellement construit, rue Saint-Dominique.
Suite à la diminution du nombre de fidèles dans la paroisse liée à la construction du viaduc Van Horne et au fractionnement, plus au nord dans le quartier grandissant de la Petite Italie, l’église dû céder la place à l’école primaire Lambert-Closse.
En 1909, le Père Émile Piché, un religieux de Saint-Vincent-de-Paul, et curé de cette paroisse fonde le Patronage Jean-Léon Le Prévost au sous-sol de l’église, le 16 décembre 1909. L’oeuvre offre des loisirs et un encadrement moral aux garçons et jeunes gens. En 1913, le Patronage déménage dans un bâtiment nouvellement construit, rue Saint-Dominique.
Bien que catholique non pratiquant, je trouve qu’une église qui meurt sous les coups de bélier, cela crève le cœur. Surotu quand on pense que c’est à cause du viaduc Van-Horne…
Alors si cela vous tente d’écrire un article sur cette disparition je me ferais un plaisir de le placer dans notre blogue.
Un documentaire de l’ONF est consacré à la fin de l’église Saint-Georges. On y voit le démantèlement puis la démolition de l’église de la rue Bernard. On y suit les paroissiens dans leur démarche pour savoir que faire de l’église étant donné un budget déficitaire.
L’église possédait un orgue Casavant 1915, de 4 claviers, 58 jeux
Le documentaire Tranquillement pas vite de Guy L. Coté (1972)