Cette école était située à l’angle de l’avenue Laurier (côté Sud) et la rue De Brébeuf (côté Ouest).
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Commentaire

L’école supérieure Saint-Stanislas — 15 commentaires

  1. J’ai des photos de finissants de l’école St-Stanislas pour les années 1958-59-60-61-62 et l’école Jacques Marquette 1967-68.
    Savez-vous où je peux les rendre disponibles pour les personnes intéressées?

  2. Comment peut on consulter les livres des finissants des années 1962 a 1964?
    Mon grand ami a fréquenté l’école supérieure Saint Stanislas

  3. Bonjour
    Je désire échanger avec ceux qui ont connu l’aumônier Paul Sauvageau entre 1956 et 1961.
    Merci pour votre précieuse collaboration.

  4. Mon père a fréquenté cette école dans les années 1930 (il est né en 1921). Il était aussi dans le corps des cadets. J’ai peut-être une photo quelque part. J’ai également fait mon secondaire 1 et 2 à cette école au début des années 1970. Elle ne s’appelait plus E.S.S.S. mais si je me souviens bien l’école Jacques-Marquette -à ne pas confondre avec la polyvalente Père Marquette.

    • Qui était votre père?
      Mon père aussi a fréquenté cette école. On est peut-être cousins?
      Mon père s’appelait Germain, il est né en 1929. Il était aussi dans les cadets. Mon frère Mario est allé à E.S.S.S. dans les années 70 aussi, elle s’appelait bien Saint-Stanislas à l’époque.

  5. Bonsoir,
    Mon père a fréquenté l’E.S.S.S dans les années 1930-1940; j’ai une photo de Y. Doucet intitulée «La Sainte Catherine à l’E.S.S.S.» datée du 25 nov. 1942. On y voit environ 200 personnes assises à des tables pour un banquet !
    Avez-vous des photos des élèves à leur graduation, en groupe ou personnalisée ?
    D’avance merci,

    • Merci pour votre photo que je viens de placer sur le site.
      Ce que je constate et qui me trouble dans ma culture française c’est que pour une fête de la Sainte–Catherine il n’y ait que des jeunes gens…
      Est-ce bien la fête de la Sainte-Catherine?
      Dans Wikipédia je note : « Dans le passé, au Québec et ailleurs au Canada français, la Sainte-Catherine, sainte patronne des femmes célibataires, était une fête particulière pour les « vieilles filles », c’est-à-dire les femmes de plus de 32 ans n’ayant pas de mari. Ces dernières pouvaient porter une certaine marque distinctive (elles « coiffaient » Sainte-Catherine2).
      La fête était aussi l’occasion de cuisiner la tire de la Sainte-Catherine. Cette tradition remonterait au temps de Marguerite Bourgeoys, qui, pour garder l’attention de ses élèves, aurait mis de la tire en face de son école, sur le chemin des classes. »

      Quelqu’un pourrait-il m’éclairer?
      Ange Pasquini

  6. Bonjour à vous qui écrivez avec tant d’enthousiasme sur vos souvenirs de jeunesse. J’ai parcouru les commentaires sur l’ESSS avec beaucoup d’intérêt. Mon père Jean-Marie y a fait ses études approximativement entre 1932 et 1937; il se peut qu’il ait jouer du clairon et fait partie des cadets. J’ai vu passer le nom de Guy Martin, et si vous en savez davantage, il se pourrait qu’il s’agisse du frère de ma mère (la 3è d’une famille de 8); Guy était son cadet (6è), et tous étaient récemment installés dans Rosemont, paroisse Saint-Marc.

    Je termine en vous informant que je n’ai pu lire les articles chaudement recommandés par Madame Boucher, Messieurs Laflamme et Mulaire

  7. Dans notre blogue l’ESSS connait toujurs un gros succès.
    Aussi connue sous le vocable ESSS ou St-Stan, cette école faisait la fierté des Frères de l’Instruction Chrétienne. Les jeunes qui y suivaient leurs cours partageaient aussi cette fierté et l’école jouissait d’un sentiment d’appartenance très fort.
    Cliquez sur ce lien pour lire cet article du blogue et y raconter vos souvenirs.

  8. Coupe Strathcona

    Coupe Strathcona

    L’un des plus importants facteurs de l’expansion du mouvement des cadets de l’armée a été la création de la fondation Strathcona en 1910. Lord Strathcona, Haut commissaire au Canada, a déposé en fiducie la somme de $500 000 au Trésor fédéral. L’objet de la fondation était d’encourager dans les écoles canadiennes l’instruction des cadets au sens civique et au patriotisme en favorisant les programmes d’éducation physique, de tir au fusil et d’exercice militaire. »
    Cette fondation existe toujours et joue encore le même rôle.

  9. « Maintiens l’honneur »

    Pensionnat Marie Rose

    Depuis plus de 100 ans, c’est-à-dire aussi loin qu’en 1862, le Canada a entrepris l’instruction militaire volontaire de ses écoliers. Au tout début, les étudiants faisaient partie de « groupements en vue de pratiquer l’exercice militaire ». Ces groupements sont considérés comme les précurseurs des corps de cadets de l’armée actuels.

  10. J’ai connu deux périodes de cette école de 1953 à 1973. L’ESSS était la fierté des Frères de l’Instruction Chrétienne dans toute la province de Québec et à travers l’Institut dans le monde. D’éminents professeurs y ont fait leur marque.
    À mon arrivée en septembre 1953,…
    Cliquez sur ce lien pour lire la suite de l’article

  11. De 1951 à 1955, mon père a fréquenté l’école supérieure Saint-Stanislas, communément appelée l’ESSS. Dirigée par les Frères de l’instruction chrétienne, l’ESSS offrait notamment le cours scientifique et le cours commercial…
    Cliquez sur ce lien pour lire la suite de l’article

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